1980 – 1990

Exposition autour de Michel Ragon au Paris Art Center, 1984

Racines                                                                                                                                                          

Il me semble que le roman « L’accent de ma mère »porte un sous-titre : l’esprit d‘un peuple. Henri Queffélec                                         

A « la recherche du temps perdu » de la Vendée, publication de L’accent de ma mère, Grand prix du roman des écrivains de l’Ouest et qui débute un cycle littéraire consacré aux racines vendéennes. Ecrit un texte sur Xénakis architecte pour Regards sur Xénakis (Stock). Publie L’espace de la  mort et une monographie critique d’un architecte : Claude Parent. Le 2ème volume du cycle vendéen : Ma sœur aux yeux d’Asie paraît en 1982. Préface la correspondance de l’ouvrier mineur Constant Malva. Membre du conseil d’administration du Centre National d’arts plastiques au ministère de la culture, il continue sa collaboration à Cimaise, Connaissance des arts, le Magazine littéraire, le Monde libertaire et Radio libertaire et préface le catalogue de la « Fabuloserie », musée d’art brut créé par son ami Alain Bourbonnais.

Succès du grand roman Les Mouchoirs rouges de Cholet tandis que parallèlement il écrit pour la CFDT le livre anniversaire du syndicalisme : Ils ont semé nos libertés.

Un hommage lui est rendu par le musée des Beaux arts de Nantes avec une exposition de ses amis peintres « Autour de Michel Ragon ». Hommage repris à Paris par Ante Glibota au Paris Art Center avec une très grande exposition et un catalogue. Abandonne l’enseignement et publie le 4ème volume du cycle vendéen La Louve de Mervent.

Elu membre d’honneur de l’académie de Bretagne, Le Marin des sables, roman vendéen de la mer paraît en 1988. Ecrit une grande monographie sur la peinture de Karel Appel de 1937 à 1957 tandis que paraît le tome 5 de l’art abstrait avec Marcelin Pleynet.

Une nouvelle édition de L’accent de ma mère est publiée dans Terre Humaine.

Publie  Jean Dubuffet paysages du mental, Atlan mon ami, et préface l’album antimilitariste : Où vas-tu petit soldat ? A l’abattoir.

 

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