La voix libertaire

Edition Plon 1991.

De Proudhon à Cohn-Bendit, de Brassens à Léo Ferré, de Mirbeau à Camus, de Henry Thoreau à Marcuse, la famille libertaire est d’une étonnante richesse.

La voie libertaire n’est pas confortable. Elle est, puisque minoritaire, la voie de la solitude et du doute. Pourquoi, dès mes vingt-cinq, ai-je emprunté celle-là et non pas l’autre ? Pourquoi, après un aussi long parcours, ai-je acquis la certitude que cette voie était la seule qui vaille la peine d’être fréquentée ?